Le ciel est le maître du théâtre
Parution en janvier 2019
aux Éditions de la Nouvelle Pléiade
Ce livre est un recueil de vingt contes unis par un point
commun : ils sont tous inspirés d’événements de la vie
d’aujourd’hui ou d’hier, de ces quelque quatre ou cinq dernières
années.
Nous en connaissons les acteurs !
Ce sont les petites musulmanes enveloppées dans leur khimar
ou leur hijâb aux couleurs de pastel bleu, bleu clair, bleu foncé,
rose, blanc, noir.
Ce sont les Roms, qui traversent le village et sont censés voler
des poules et des bottes d’osier ; derrière eux virevoltent les deux
petites Romanichelles Mia et Liance.
C’est la petite Syrienne à la robe rouge de la Ghouta, qui fait la
une des journaux occidentaux et des réseaux sociaux. Ce sont les
lycéennes de Kandahar défigurées par l’acide sulfurique. C’est ce
nuage étrange et maléfique, au nom venu d’Islande, qui assemble
pêle-mêle les lettres: Eyjafjallajökull.
Mais l’auteur se définit lui-même comme un magicien, celui
qui a le pouvoir d’ordonner les voyelles et les consonnes du Ciel !
Ce pouvoir lui vient de son grand-père maternel : il transforme
donc les acteurs en personnages de contes d’où s’échappent des
lapins, des colombes, des tourterelles, des perroquets et aussi des
mouchoirs, des foulards, des
voiles !
Le voile est pervers ! dit-il.
Il ajoute : Je devins. Je suis devenu. Magicien. Il ne reste que la
religion des femmes nues sous le voile. C’est la religion du plaisir.
C’est la religion d’Aphrodite. Célébrons Aphrodite.
Justine Chapuis, Matthias Egger et Guillaume Faure

Justine Chapuis commence la flûte traversière à l’age de 7ans à l’école de
musique d’Issoire et c’est durant son année de terminale qu’elle
entre en cursus amateur au Conservatoire à Rayonnement
Régional de Clermont-Ferrand dans la classe d’Hervé Hotier.
Une fois son bac scientifique obtenu avec la mention bien,
elle décide d’entrer en cursus à orientation professionnelle au
CRR durant lequel elle travaille parallèlement avec de grands
noms de la flûte tels que Juliette Hurel, Michel Moragues et
Vincent Lucas.
Ce cursus s’est terminé en mars 2018 par l’obtention de son
prix mention très bien à l’unanimité.
Matthias Egger
débute le violon à l’âge de 9 ans à
l’école de musique d’Arpajon-sur-
Cère, près d’Aurillac. Il étudie ensuite
au conservatoire d’Aurillac jusqu’à sa
terminale, puis entre en cycle à orientation
professionnelle au Conservatoire à
Rayonnement Régional de Clermont-
Ferrand dans la classe de Olivier Baraud,
où il obtient en 2019 son Diplôme
d’Etudes Musicales en violon.
Guillaume Faure a commencé le hautbois au conservatoire
d’Aurillac à l’âge de 7 ans en loisir, mais c’est vite devenu une partie
importante de sa vie. Il a donc donc toujours
continué (hormis une année de pause) jusqu’à
aujourd’hui. L’idée et le projet de devenir
professionnel est récente, mais
ce projet est maintenant bien ancré.Il compte
donc intégrer un pôle supérieur après avoir
passé son Diplôme d’études musicales en 2019).
La musique est désormais mon projet d’étude
mais elle reste une grande passion |